Dans le cadre du projet Art-Hop-Polis à la CIUP, venez découvrir les oeuvres de Thomas Ahl.
Vernissage le mercredi 06 décembre 2017 de 19h à 20h30. Entrée libre.
Exposition jusqu’au 20 décembre, ouverture du lundi au vendredi de 09h à 12h et de 14h à 17h, fermeture les samedis et dimanches.
Thomas Ahl est né en Suède, dans la région des lacs, là où la nature et la lumière du Nord sont les plus intenses.
Tombé amoureux de la France, il est venu habiter à Paris où il vit depuis.
L’héritage artistique de ce pays d’adoption et de Paris en particulier, la beauté et l’esthétisme qui l’imprègnent sont une source d’inspiration permanente.
Passionné par le dessin et la peinture, c’est un artiste autodidacte et curieux, qui se forme par l’observation et s’inspire d’artistes reconnus et des grands maîtres. Il est aussi attentif aux tendances et à l’évolution des domaines artistiques et de son environnement.
Son principal centre d’intérêt ce sont les gens.
L’être humain le fascine, avec sa multitude de facettes, d’humeurs, de façon de s’exprimer, ses
manières d’interagir avec le monde qui l’entoure et de résoudre les situations de la vie. Tout ce foisonnement d’énergie est pour lui une inspiration sans fin.
Thomas est définitivement un coloriste : utilisant une gamme de couleurs restreintes dans chaque oeuvre, elles posent l’équilibre et mettent en place le dessin de base. De là peuvent naître les personnages et le dessin. Son sens de l’harmonie des couleurs se lie à une puissance créatrice et poétique pour nous offrir une galerie d’images fortes et dynamiques.
Son imaginaire s’épanouit dans une étonnante ambiance toute personnelle où la liberté des tracés fait émerger des personnages sortis de nulle part, donnant ainsi une énergie singulière à son art.
L’artiste joue avec spontanéité sa partition sur des thèmes variés où l’imagination prend toujours le dessus.
Combinaison figurative et abstraite de formes et de couleurs, la peinture de Thomas Ahl est un voyage entre le rêve et la réalité : une porte ouverte sur l’imaginaire.
